La force du collectif
Le tout est plus que la somme de ses parties
Les commentateurs politiques ont tendance à affirmer péremptoirement que le scrutin communal ne serait jamais qu’une « affaire de personnes » dans l’isoloir. Toutefois, si proximité et confiance dans la capacité à gérer la commune déterminent souvent le choix de l’électeur, il ne faudrait pas négliger pour autant l’importance des enjeux, du programme et des projets portés par un collectif.
« Se réunir est un début. Rester ensemble est un progrès. Travailler main dans la main est un succès. » déclarait déjà, au XIXème siècle, l’industriel américain de renom Henry Ford. Mais n’en est-il tout simplement pas de même en matière de scrutin communal?
Les Engagés de Celles ont compris que « la force du collectif réside dans le rassemblent des compétences individuelles pour atteindre un objectif » et que seule la sagesse du groupe peut traduire des promesses électorales en actes. Ce n’est certes pas Théo Ronveaux, le plus jeune d’entre eux, qui démentira cette analyse de footeux après avoir rejoint les rangs de la liste turquoise.
Et puisque l’heure et l’humeur sont parfois à la réflexion, c’est à l’anthropologue Margaret Mead qu’on laissera le soin de conclure. Avec une réflexion fort à propos, pour ne pas dire aux accents des Engagés de Celles: « Ne doutez jamais qu’un petit groupe de citoyens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c’est la seule chose qui ait jamais existé. »